mercredi 28 décembre 2011

Contracorriente


Un film de Javier Fuentes Leon
L'HISTOIRE : Miguel est un jeune pêcheur, très apprécié et bien intégré à Capo Blanco, un petit village avec de fortes traditions catholiques sur la côte Nord du Pérou. Marié à Mariela qui attend leur premier enfant, Miguel vit secrètement une histoire d’amour passionnée avec Santiago, un beau et mystérieux peintre qui vit à l'écart du village...

mardi 20 décembre 2011

Onéguine, Evan McKie & Aurélie Dupont


"(...) Bien qu'académique, l'écriture chorégraphique dégage une profonde émotion. Il faut dire que le couple "surprise" de cette distribution éblouit. Sans théâtralisation excessive ni lourde pantomime, Aurélie Dupont et Evan McKie ont su rendre, précisément et avec intensité les caractères, les hésitations des sentiments, la nostalgie du temps qui est passé.
L'étoile de l'Opéra est époustouflante de par sa technique, son sens théâtral et son engagement psychologique dans le rôle de Tatiana. Elle sait être la jeune fille romantique nourrie de littérature sentimentale au premier acte, qui s'imagine dans les bras de cet homme, ténébreux et indifférent, auquel elle va, en vain, avouer son amour dans une lettre passionnée. Au troisième acte, princesse Grémine, Aurélie Dupont incarne une femme et épouse de la haute société russe, consciente de son rang mais désormais interdite. Outre cette évolution traduite dans chaque geste, dans chaque pas, ce qui frappe surtout, c'est le travail du regard qui est livré par la ballerine tout au long de la chorégraphie.
Enfin, l'ultime pas de deux, construit en écho et contrepoint à celui qui clôt l'acte 1, tout en étant incroyablement technique et physique, est d'une sensualité vibrante. Eugène Onéguine/Evan McKie et la princesse Grémine/Aurélie Dupont s'abandonnent aux émotions de leur personnage sans retenue… ce porté où Aurélie Dupont glisse sur le torse de son partenaire est d'une beauté incommensurable. Dans les bras de l'étoile du ballet de Stuttgart, Aurélie Dupont réussit à se surpasser et faire oublier cette froideur qui, habituellement, caractérise ses personnages.
Son partenaire, danseur noble et élégant, à la musicalité exemplaire et fin connaisseur du personnage, sait parfaitement incarner ce dandy désargenté et las des mondanités pétersbourgeoises. Tout au long de l'oeuvre, il s'impose comme le personnage clé de ce chassé-croisé tragique entre les quatre jeunes gens. Bref, le partenariat entre Aurélie Dupont et Evan McKie fonctionne à merveille
(...)"

L'article en français est accessible sur Balletymas

samedi 17 décembre 2011


La chanteuse Cesaria Evora est décédée des suites d'une maladie, au Cap Vert, à l'âge de 70 ans.

jeudi 15 décembre 2011

Impressing the Czar


Festival d'Automne à Paris - Ballet Royal de Flandres
"(...) Une scène noire, ouverte comme un cinémascope, où l'or brille partout. Des tentures de couleur bronze deviennent d'étranges costumes baroques, rococo, d'esprit Renaissance sur des femmes grimaçantes, colériques. Des danseurs ont le corps moulé dans des académiques vieux ors mats. A droite, la salle du trône, représentée par un large praticable de bois précieux. Sa pente, légèrement inclinée, décorée comme un échiquier imaginaire, sert de plancher de danse à un groupe de figures d'une autre époque, dans une ambiance décadente, cruellement caricaturée, comme si l'Alice de Lewis Caroll avait pu être transportée avec la Dame de coeur, au travers du miroir, par une machine à explorer le temps.
Mais à la place d'Alice nous découvrons deux jeunes filles de la télévision et M. Pnut (Mikel Jauregui), pauvre niais qui possède tous les canaux télévisés. C'est ce que déclare de façon insistante Agnès (Helen Pickett), jeune fille en tenue d'écolière, à Rodger (Craig Davidson), l'homme robot des médias
(...)."
La critique, en entier, en français et espagnol sur Balletymas

mercredi 14 décembre 2011

dimanche 11 décembre 2011

mercredi 7 décembre 2011

dimanche 4 décembre 2011

samedi 3 décembre 2011