La Pepa - Sara Baras Ballet Flamenco

Sara Baras - Foto : Carmen Romero

Personne ne sait très bien où, quand et comment naît l'histoire du flamenco. Ses premières racines ont du pousser quelque part dans l'Inde du Nord, avant d'être soudainement (mais on ignore pourquoi) chassés de leur terre. Les graines de cette plante folle ont alors voyagé un peu partout en Europe, sous les roues des carrioles nomades qui emportaient l'exil d'un peuple, d'une langue et de ses farandoles. Cette plante coriace, dure au vent et à la misère, a su se transformer au gré de ses pérégrinations, se réfugiant dans la plainte d'un violon tzigane en Europe de l'Est, s'infiltrant, in fine, sur les terres arides et rocailleuses de l'Andalousie espagnole (...).

Mon article, en français, ici, et en espagnol, là.

Marie-Agnès Gillot / Merce Cunningham

Vincent Chaillet / Laetitia Pujol
"Sous apparences", chorégraphie Marie-Agnès Gillot
 Photo : P. Petit

Extrait du compte rendu que j'ai publié sur Balletymas

Le Maître Cunningham et l’apprentie chorégraphe Gillot. La double-bill à l’affiche de l’opéra de Paris pourrait agréablement surprendre. Elle déçoit.  Brigitte Lefèvre, directrice de la danse, a voulu associer à la reprise d’ « Un jour sur deux », la création de la danseuse-étoile Marie-Agnès Gillot qui conçoit là sa première chorégraphie pour le Ballet de l’opéra de Paris. (...) 

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La version espagnole, là.

Hervé Moreau, Emilie Cozette, Fabien Revillon
"Un jour ou deux", chorégraphie Merce Cunningham
Photo : Julien Benhamou/Opéra national de Paris

"Meet the Stars..." Odéon d'Hérode Atticus - Athènes

Tchaikovsky Pas de Deux
F. Bonelli / H. Kobayashi - Photo : Gérard Uféras

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Guillem - Hilaire

Carlos Acosta, acteur

L'adage à la rose de Mlle Correa

Les 25 ans du Béjart Ballet Lausanne

Photo : F. LEVIEUX

Le compte rendu de la soirée du 7 mars est accessible ici.

Extrait :

"(...) Boléro, sans doute le ballet le plus populaire de Béjart, est interprété par la somptueuse Elisabet Ros. Le chorégraphie s'attache à "faire ressortir la mélodie qui s'insinue dans tout le morceau et s'enroule inlassablement sur elle-même", et fait implicitement référence à la tension que suscite la strip-teaseuse lorsqu'elle s'effeuille devant une assemblée de mâles. Sur la table rouge, la danseuse vedette de la compagnie ondule suivant la progression musicale. A la fois sensuelle, séductrice, venimeuse, Mademoiselle Ros charme et hypnotise l'assemblée de mâles qui l'entoure, avant d'emporter dans son sillon le public du Palais des Congrès. Le triomphe est au rendez-vous (...)".  

La Bayadère, chorégraphie de Noureev

Photo: Agathe Poupeney / Opéra national de Paris

La Bayadère, chorégraphie de Rudolf Noureev.
Reprise à Bastille, ma critique peut être lue ici

Extrait :
"Créée en 1877 au Grand Théatre de Saint Pétersbourg, la Bayadère fut l'une des plus grandes réussites de Marius Petipa avant ses productions de La Belle au bois dormant (1890) et du Lac des cygnes (1895). Conçu en collaboration avec le librettiste Khoudekov et le compositeur Minkus, ce ballet a de quoi séduire par son parfum d'exotisme : tout l'Orient dans une bouteille. Couleurs, tissus, odeurs... servent de toile de fond à ce ballet dans lequel un guerrier indien, pourtant promis à la fille du rajah, tombe amoureux d'une simple bayadère, danseuse du temple de Bouddha. Gamzatti, sa promise, empoisonne la rivale qui meurt sous ses yeux. Alors qu'il fume du narguilé, Solor la voit en rêve, dans un tableau hommage au ballet romantique (...)"

Robbins/Ek

Dernière représentation du double bill Robbins/Ek à Garnier.
Mon compte rendu ici.

Dances at a Gathering

6.000 miles away, Sylvie Guillem au théâtre des Champs Elysées

Balletymas était présent à la création mondiale, à Londres, en juillet dernier... à lire, ici !

Yolanda Correa, Samsara (extraits)

Yolanda Correa (3.19 ; 3.40)

Oslo, février 2011

Oslo, février 2010

Oslo, 28 janvier 2012

Yolanda Correa, inoubliable Giselle !

Photo. E. Berg.
La première de Giselle a été interprétée par Mlle Yolanda Correa et M. Carreno, sur la scène de l'opéra d'Oslo. Une Giselle exceptionnelle, d'une qualité exceptionnelle... pour en savoir un peu plus, vous pouvez lire mon article en français et espagnol, diffusé par Balletymas.

Push

Akram Khan

Yolanda Correa, Esmeralda

Répétition du pas de deux "Esmeralda" - Yolanda Correa/Yoël Carreno, Cuba.

L'ultime représentation de la Merce Cunningham Company, invitée du festival d'Automne à Paris sur la scène du théâtre de la Ville.
La critique sur Balletymas

"(...) Il a rendu la danse indépendante de la musique, gardé ses propres explications pour lui-même et permis au public de trouver les siennes, utilisé la philosophie du hasard pour donner un nouveau sens à la structure spatiale et temporelle, souvent donné aux hommes et aux femmes la même chose à faire, montré sans contestation possible que les êtres humains n'étaient pas perpétuellement sexuels, et fait en sorte que l'espace n'exprime pas sa personnalité mais différentes façon de voir la vie.
Après avoir, en 1953, lancé sa propre compagnie dans le grand bain à New York, puis une école à son nom qui distille son approche de la gestuelle abstraite, Merce Cunningham ne cesse de chorégraphier. Il déroute son public avec une recherche qui s'affranchit des codes du ballet et de la modern dance. Avec plus de 150 pièces à son compteur, dont certaines au répertoire d'autres compagnies, Merce Cunningham a travaillé toutes les facettes de son talent. A l'instar de Duets qui, tel un jeu de miroir, explore les possibilités formelles du mouvement, tout en déployant ses infinies combinaisons dans l'espace et le temps. Fascinant.(...)"