dimanche 30 octobre 2011

samedi 29 octobre 2011

Le lac des cygnes - Yolanda Correa

Yolanda Correa et Yoël Carreno interprèteront le Lac des cygnes les 1er, 5, 9 et 12 novembre prochains sur la scène de l'opéra d'Oslo.
Photo. E. Berg
Le compte rendu de la soirée du 5 novembre prochain sera accessible sur le site de Balletymas, en français et espagnol.

jeudi 27 octobre 2011

Nelken - Tanztheater Wuppertal - Théâtre de Nîmes

Photo. Ulli Weiss
(...) Sur la scène : un magnifique champ d’œillets. Par milliers, ils forment un tapis épais qui donne l’impression d’une douce sérénité. Un danseur s’avance, s’installe sur une chaise qu’il a apportée et regarde le public. Petit à petit, tout l’ensemble le suit, puis s’assoit. Un air d’opérette. Ils écoutent. Attentivement. Puis certains interprètes, un peu guindés, se frayent prudemment un chemin parmi les œillets et descendent dans la salle. Ils demandent à des spectateurs de les suivre vers la sortie, bras dessus – bras dessous. Resté sur scène, un danseur traduit en langage sourds-muets la chanson de Gershwin « Someday he’ll come along, the man I love », qui sera le leitmotiv de la pièce.(...)

Le compte rendu de Nelken est accessible en français et en espagnol sur Balletymas

Merci à Carolina pour la traduction !!!!!

mardi 18 octobre 2011

Lloyd Newson & DV8 invités du festival d'automne à Paris

Photo. : O. Manzi.

Lloyd Newson, un artiste en colère.
Dénoncer. Révéler. S'insurger. Vider son sac. La vérité, aussi douloureuse soit-elle, rime, pour Lloyd Newson, avec beauté. Le chorégraphe australien, installé à Londres, ne la situe pas du côté de l'esthétisme, mais du courage d'affronter la vie en face. De lutter.

Après de nombreux déboires techniques, ma critique de DV8 est en ligne sur Balletymas. En espagnol également.

dimanche 16 octobre 2011

Trisha Brown à Chaillot

Trisha Brown est un phénomène. A l'affiche du théâtre de Chaillot, à Paris, jusqu'au 14 octobre, Trisha Brown a invité le public à une promenade dans les méandres de son oeuvre chorégraphique, d'une richesse incommensurable.


" (...) Elle fera marcher ses danseurs sur des murs, à l'horizontale, galoper sur les toits de New York ou léviter sur des pièces d'eau. Dépouillement, recherche de l'inexploré, ou mieux, de l'inaccessible, répétitivité, accumulation du geste comme du verbe, réflexion sur la nature profonde du mouvement, sont alors les maîtres mots de la démarche de Trisha Brown.
Ses chorégraphies ont la force jubilatoire d'un précis de liberté. Son oeuvre ne saurait se résumer à une technique ou un vocabulaire. D'une folle musicalité, sa danse est un flot insaisissable de courses suspendues, de chutes inattendues, d'élans joueurs, de prises de risques esquivées. Le mouvement y est en en activité constante, dans une extrême et mobile fluidité de toutes les parties du corps. Une onde de vie traverse en tous sens la danse de Trisha Brown. Quatre pièces, dont une première européenne et une création mondiale, pour nous le rappeler
(...)".

L'article complet est publié sur Balletymas

mardi 11 octobre 2011

vendredi 7 octobre 2011

Yolanda Correa, Odile-Odette

Yolanda Correa et Yoël Carreno interprèteront les rôles-titres du Lac des cygnes les 1er, 5, 9 et 12 novembre prochains, sur la scène de l'opéra d'Oslo.

mercredi 5 octobre 2011

dimanche 2 octobre 2011

L'interview de Mademoiselle Lucia Lacarra

Lucia Lacarra, délicieuse et lumineuse, nous a accordé un entretien, sans faux-semblant. Extrait :
"DANSE : Justement, comment choisissez-vous vos rôles ? Avez-vous envie de danser Giselle, du Ek… ?
Lucia Lacarra : Mon opinion, très personnelle, est que chaque danseur ne peut pas tout danser. Bien sûr, nous pouvons tous tout faire. Mais il y en a qui sont meilleurs dans un certain répertoire, avec tel langage chorégraphique… Alors, avec mon directeur nous avons aussi cette entente puisque j'ai possibilité de dire "ce rôle là, je ne le sens pas". Par exemple, vous parliez de Mats Ek, j'aime bien regarder ses pièces. Mais son langage est trop brutal pour mon corps qui est trop élastique. Pour interpréter du Ek, il faut avoir une musculature puissante… si je dansais du Mats Ek, j'aurais l'impression de me casser en deux ! Forsythe, Kylian je n'ai aucun problème. Alors c'est aussi un avantage à Munich parce que j'ai la possibilité de donner mon point de vue et d'être entendue. Je danse parce que c'est une passion, parce que j'adore ce que je fais. Mais si je ne peux pas m'amuser, si j'étais forcée d'interpréter un rôle, je ne pourrais pas communiquer, transmettre des émotions parce que je ne prends pas de plaisir à l'interpréter. Et pour moi, danser c'est du plaisir. Ce n'est pas simplement un challenge douloureux.
Je suis ballerine depuis 21 ans et maintenant, je sais ce que j'aime, ce que j'adore et ce que je n'aime pas du tout. A partir de là, je veux éprouver du plaisir en exerçant mon métier (...)
".

Photographie : Onéguin, Cranko - Lucia Lacarra, Marlon Dino

L'intégralité de l'entretien est à lire dans la revue DANSE (n°266) d'octobre 2011.