lundi 26 janvier 2009

Sweet Mambo, Pina Bausch au théatre de la Ville

4 commentaires:

Laure K. a dit…

je n 'ai toujours pas compris pourquoi mon cerveau ne tilt pas à suivre de prêt les travaux de cette chorégraphe, alors que tout tend vers son travail ... ni pourquoi ce "Tout" est ici !

Que dire de "Sweet Manbo" ... ? ne rien dire si ce n'est d'aller l 'expérimenter à sont tour, comment dire la danse ? on ne peut pas "dire" la danse !

Bien que Pina Bausch semble elle, demander ... les mots à ses danseurs.

C'est un grand mystère !

laurence a dit…

Il est des œuvres ou la violence est telle qu'elle vous laisse parfois juste derrière le rideau blanc... vous entendez des cris mais l'effroi peut être... vous empêche de soulever... et il faut du temps...Sweet mambo a quelque chose de certains films de Altmann "Short cuts" par exemple...La coupure est si violente qu'elle anesthésie dans un premier temps...

Laure K. a dit…

l' effroi sans doute, oui ... l 'images des corps hantent.

laurence a dit…

L'effroi, c'est toute cette douleur qui rend le mouvement unique,solitaire presque déréglé comme si quelque part le mécanisme en était rejetté