mardi 14 octobre 2008

Moriarty à l'Olympia

J'ai aimé les ballades à la Gainsbourg entonnées sur la voix cassée à la Joan Baez, déclinées au gré d’une mise en scène digne d’une oeuvre théâtrale... successivement plongés dans l’ambiance désuète d’un studio bohème enfumé, d’une pièce plus intimiste ou sur les toits d’un immeuble situé je ne sais où . Comme une sorte d’invitation à refaire le monde, créant une ambiance salle-scène assez fabuleuse,.
Par contre, le côté rock à l’excès ou la reproduction gestuelle de musiciens déchaînés, en fin de concert m’a agressé... brisant le charme que le quintet avait installé tout au long de la soirée.

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